Niamey, 05 fév (ANP)-La première dame Dr. Lalla Malika Issoufou, présidente de la fondation Tattali Iyali a procédé, à l’occasion de la journée internationale de lutte contre le cancer le jeudi 04 février 2021, à la pose de la première pierre de la ‘’maison de vie’’ au centre national de la lutte contre le cancer (CNLC) de Niamey.
Cette ‘’maison de vie’’ va permettre de mettre à la disposition du CNLC une cinquantaine de chambres dont certaines pour deux patients, avec des compartiments socio-sanitaires connexes.
Elle offrira également aux hommes, femmes et enfants qui souffrent du cancer, un cadre d’accueil digne afin qu’ils puissent y séjourner dans des meilleures conditions pendant leur prise en charge.
A cette occasion, la présidente de la fondation Tattali Iyali a appelé à ‘’une forte coalition, une alliance élargie et un partenariat solide entre le gouvernement, le secteur privé, la société civile et les communautés pour gagner le combat et sauver des vies’’ avant d’offrir une centaine de kits alimentaires et des pagnes aux patients du centre national de la lutte contre le cancer (CNLC).
Quant au directeur général du CNLC, Dr Malam Abari Moustapha, il n’a pas manqué d’exprimer toute ‘’sa gratitude aux bonnes fois qui ont soutenu la noble cause de la marraine de la lutte contre le cancer au Niger’’,
‘’Cette contribution de la fondation Tattali Iyali vient, ainsi, renforcer les efforts du gouvernement nigérien dans la lutte contre cette maladie, à travers le CNLC qui soulage les patients souffrant du cancer’’ a déclaré le directeur général.
Le Dr Malam Abari a poursuivi en annonçant que ’’le plateau technique de radiothérapie sera renforcé par l’acquisition imminente de l’accélérateur linéaire grâce à un financement de la banque islamique de développement et un partenariat technique de l’agence internationale de l’énergie atomique (AIEO)’’.
La cérémonie s’est déroulée en présence du Ministre de la santé publique par Intérim, M. Ahmed Boto et les représentants des partenaires techniques et financiers, à savoir : la BID, L’ARCEP, l’UNFPA, et l’OMS.
HA/AS/ANP 025 février 2021