Dubaï, 23 mars (ANP) – Petit bourg de pêcheurs balayé par le vent désertique jusqu’à la fin du 19ème siècle, aujourd’hui Dubaï, un des sept États des Emirats Arabes Unis, impressionne le visiteur par la démesure de ses infrastructures.
Principale vitrine de cette réussite, l’aéroport international de Dubaï donne la mesure de l’ambition grandiloquente de ses concepteurs. Cette vaste plateforme est avant tout un hub de business et de tourisme.
Les infrastructures d’accueil et de réception de format xxxl sont dédiées à la gestion des trafics et des afflux des passagers. Il ne peut être autrement dans un pays qui mise sur le tourisme, le business et l’ouverture.
Dubaï ne dément pas sa réputation de la « Mecque des affaires » : des personnes de toutes les nationalités y convergent.
Le gigantisme de l’aéroport est renforcé par cette forêt des gratte-ciel, des tours en verre et acier. Un pulze d’autoroutes fluidifie la mobilité. La dimension environnement est remarquable avec de forêts artérielles qui rompent avec le visage naturel des lieux. Émirat des superlatifs, Dubaï c’est aussi Burj khalifa qui caresse le ciel, une des tours la plus haute du monde jusqu’à une date récente. S’y ajoutent le projet du plus grand aéroport du monde, la marina, de la plus grande île artificielle….
Des plus grandes enseignes s’y bousculent. Les facilités fiscales, la sécurité des investissements y sont pour quelque chose.
L’essor de cet émirat n’avait commencé que vers 1966 avec l’exploitation pétrolière. Mais la manne pétrolière n’explique, en elle seule, le succès de cet État. La vision, la diversification des sources de revenus y ont contribué pour une grande part.
L’expo Dubaï 2020 donne une occasion de plus à cette perle du golfe arabique de se repositionner sur la rampe de lancement après deux années de covid 19.
CA/ANP 0138 mars 2022